Crédit photo : Ville de Paris / Quentin Lecocq.

Danser à la catastrophe suit un collectif d’artistes et d’activistes qui tentent d’alerter face à l’un des plus grands projets pétroliers de notre époque : EACOP. Convaincus que l’art peut transformer les imaginaires et peser sur les choix politiques, ils se heurtent pourtant à leurs propres limites : le doute, l’épuisement, la peur de l’inaction. Ils s’interrogent sur l’efficacité de leurs moyens pacifiques face à l’ampleur du projet EACOP, lancé en Afrique avec le soutien d’acteurs économiques et politiques majeurs.

La lutte collective se mêle aux histoires intimes, révélant une génération traversée par la question : comment continuer à croire, à aimer, à créer, dans un monde qui court à la catastrophe ? Et les moyens pacifiques sont-ils suffisants pour agir face à cette crise imminente ?

Notre troisième spectacle mêle théâtre, musique et danse pour donner chair aux enjeux écologiques, mais aussi aux contradictions intimes qui nous traversent face à eux.

Le projet a été sélectionné par le dispositif Créart’up de la Ville de Paris.

La première du spectacle a été jouée le 2 avril 2025 dans la salle Jacques Bravo (Paris IX). Il a été repris les 23, 24 et 25 mai au Théâtre Nicole Loraux (Paris V).

Nous rejoureons le 2 avril 2026 à 20h30 au Théâtre de l’Opprimé (Paris XII).

Image de couverture : Quentin Lecocq, Ville de Paris.

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